Le récap de la semaine du 20 au 24 février
Gironde :
Créée fin 2020, Arhyze s’est spécialisée dans l’hydrogène vert. Ses 3 fondateurs vont déménager leur siège social parisien à Bordeaux au second semestre 2023 pour se développer en région Nouvelle-Aquitaine.
Autour de la future usine de dirigeables dont Flying Whales va se doter à Laruscade, une zone d’activités économiques dédiée à cette filière dirigeables verra le jour. Plus de 16 millions d’euros doivent être investis pour aménager environ 75 hectares. La concertation publique vient de démarrer.
Grâce à un nouveau tour de table de 2 millions d’euros, réalisé notamment auprès du fonds d’investissement 4Ventures, la jeune pousse bordelaise Obvy veut décupler son volume d’affaires en 2023. Et déployer sa solution de paiement sécurisé BtoB en Espagne, en Italie, en Suisse et en Allemagne.
Pays basque :
La société Optima aéro spécialisée dans l'achat et le démantèlement d'hélicoptères inaugure son siège européen à Anglet. Mais l'entreprise canadienne a déjà dessiné un projet de centre d'excellence de démantèlement d'hélicoptères pour le Pays basque.
Depuis 8 ans, la société Docorga propose une alternative bayonnaise à Doctolib, le leader de la prise de rendez-vous médicaux en ligne. Sa cible : le marché de la rééducation.
L'aéroport de Biarritz a dévoilé mercredi ses orientations pour 2023. Au menu, trois nouvelles lignes depuis le Pays basque, et une diversification des ressources financières.
Nouvelle-Aquitaine :
L’année dernière, le groupe Action Logement, via ses six filiales présentes en Nouvelle-Aquitaine, a obtenu 3.800 agréments pour la construction de logements sociaux et intermédiaires. Quels sont les freins à la construction, et les leviers à actionner pour atteindre les objectifs nationaux ? Éléments de réponse avec Sébastien Thonnard, directeur régional Nouvelle-Aquitaine d’Action Logement.
Spécialiste des poudres et autres matériaux énergétiques, Eurenco va relocaliser à Bergerac sa fabrication de poudre pour gros calibres. L’investissement représente 60 millions d’euros. A horizon 2025, il livrera de quoi équiper près de 100.000 obus de 155 mm par an.
